1990 - Îles Marquises
(…) je parlerai plutôt d’un cycle polynésien hanté par Gauguin et qui, par une embellie résurgente, au terme d’une combustion lente et souterraine remontant à Matisse, parviendra à l’illumination. Mais Gauguin n’y est guère plus lisible que Matisse, Kijno excluant tout mimétisme de couleur, de contour ou de surface, voire de comportement, pour préserver des rapports d’un autre ordre, sans doute plus étranges ou cachés et même contradictoires, parce que régénérateur. (…)
Extrait de la Monographie Ladislas KIJNO, Raoul-Jean MOULIN
Editions Cercle d’Art, 1994